Vendredi soir, plus de 300 migrants ont été évacués d’un camp à Saint-Denis à quelques centaines de mètres à peine du centre d’accueil ouvert il y a un mois à Paris pour éviter la reconstitution de nouveaux campements. Plus d’un mois après le démantèlement de la jungle de Calais, leur prise en charge n’est toujours pas réglée. Si certains sont dispersés partout en France dans des centres d’accueil, ils sont encore nombreux à dormir dans la rue.