Le SDF avec qui Geoffrey a eu une altercation et qui est toujours en fuite et recherché par la police, a porté un seul coup fatal avec un couteau de chasse : « j’ai tenté de faire un point de compression mais ça ne servait déjà plus à rien ».
Geoffrey Bellir avait grandi à Chambéry et était entré dans l’armée « par conviction et pour servir son pays », ont expliqué au Dauphiné Libéré sa mère et ses amis. (…)
Merci à Mielrubis