31/01/17
Le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret a indiqué ce lundi soir, que l’information judiciaire ouverte au cabinet d’un juge d’instruction contre le Montpelliérain de 30 ans domicilié à la cité Gély visait le crime présumé d’assassinat, c’est à dire un homicide volontaire avec préméditation, après la mort par balles, dans la nuit de samedi à dimanche d’un ancien boxeur d’ici, Amine G., 37 ans.
Le procureur a requis un mandat de dépôt contre le trentenaire issu de la communauté gitane sédentarisée -conduit au commissariat central par des amis et un des juges de paix de cette communauté- où il s’est constitué prisonnier. Cinq heures après les faits, l’assassin présumé avait 1,80 gramme d’alcool par litre de sang. Il a notamment été incapable de retrouver l’endroit exact où il s’est débarrassé de l’arme du crime, un fusil de chasse qu’il est allé chercher dans le coffre de sa voiture.
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Amine G. est également un ancien boxeur d’ici. Le trentenaire, défavorablement connu des services de police et de la justice, à l’instar de l’assassin présumé -affaires de violences volontaires et de stupéfiants- résidait chez ses parents, installés à la Pompignane depuis plus de trente ans.
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30/01/17
L’homme de 37 ans, bien connu des services de police, se trouvait à l’intérieur de l’épicerie de nuit quand il a reçu trois balles dans le corps.
Dans la nuit de vendredi 27 à samedi 28 janvier, l’homme qui ouvert le feu à travers la baie vitrée de l’épicerie de nuit du 70 rue du Faubourg-Figuerolles, tuant sa cible de trois balles dans le corps avant de se rendre quelques heures plus tard, a indiqué à la police judiciaire avoir agi ainsi en raison d’un mauvais regard.
Si l’auteur présumé des tirs et la victime se connaissaient et entretenaient visiblement des rapports assez conflictuels, les enquêteurs penchent plutôt vers une histoire liée à des stupéfiants
Merci à CathyB
