Paul Larrouturou, journaliste à Quotidien, l’émission de TMC, a tenté ce mercredi d’approcher Marine Le Pen qui répondait aux questions des médias dans les couloirs du Salon des entrepreneurs à Paris. Mais, pour une raison encore inconnue, le ton est monté entre le reporter et le service d’ordre qui l’a violemment repoussé vers la sortie. […]
[…] Selon nos informations, le service de sécurité privé qui assurait la couverture de l’événement est “1re ligne sécurité”. Jointe par Le HuffPost, la société précise que ce sont “deux fonctionnaires de police qui nous ont demandé d’écarter ces deux individus provocateurs. Il y avait énormément de bousculade”. Ce qui expliquerait les injonctions des deux vigiles qui ont reproché aux journalistes d’avoir heurté un agent de police.
La société confirme n’avoir reçu aucune instruction de la part du Front national concernant la presse: “Nous, on obéit pas aux ordres du service d’ordre de Marine Le Pen. On n’est pas politisé. On est prestataire depuis 20 ans. On n’est pas des nouveaux. On a rarement vu autant de déchaînement.” […]
Nous souhaitions simplement savoir si le garde du corps de Marine Le Pen avait eu un emploi fictif au Parlement européen ou non. #Quotidien pic.twitter.com/MVEHh4PZxn
— Quotidien (@Qofficiel) February 1, 2017
🚨Alerte Fake News : plusieurs médias écrivent que le Quotidien a été viré par le service d'ordre de MLP. Or c'est celui du Salon. 🚨
— Florian Philippot (@f_philippot) February 1, 2017