Rome, submergée par les arrivées incessantes d’immigrés depuis la Libye, se tourne non vers Washington, mais vers Moscou. Une aubaine pour Poutine.
(…) Devant l’absence de volonté ou l’incapacité de la présidence Obama et aujourd’hui les incertitudes quant à la politique étrangère de Donald Trump, Rome a décidé de se tourner vers la seule puissance qui, depuis son intervention en Syrie, montre qu’elle est décidée à exercer son influence dans cette région du monde : la Russie. « Nous avons toujours eu de bonnes relations avec la Russie, s’est justifié Mario Giro, le vice-ministre italien des Affaires étrangères. Et alors qu’il est urgent d’avoir une Libye pacifique et unifiée, nous serons heureux que Moscou nous aide dans cet objectif. »
(…) Le Point