Salia Anou s’est inspiré des ateliers de danse qu’il a menés dans des camps de réfugiés africains. À travers Du désir d’horizon , le chorégraphe burkinabé se demande si on peut survivre à la violence du déracinement. Il a présenté son spectacle jeudi soir à L’arc. Il interroge la situation des réfugiés et sa résonance en chacun de nous.
Tour à tour, ses danseurs nous parlent de la découverte de l’autre, de la difficulté à communiquer et à s’adapter à l’exil. Entre violence, tendresse et amour, ils montrent l’essentiel et la beauté du vivant avec une énergie et une joie communicative. […]
Merci à Pythéas