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Investi pour l’électrification de l’Afrique depuis deux ans, l’homme politique français annonce qu’il se tourne vers d’autres horizons, avec la satisfaction d’avoir contribué à créer l’Initiative africaine pour les énergies vertes (AREI). Mais au sein de cette initiative dédiée aux énergies renouvelables on réfute le lien de parenté.

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Infrastructures : un vent de changement dans l’énergie africaine
Plus de deux ans qu’il parcourait le continent pour plaider en faveur d’une électrification de l’Afrique, où 600 millions de personnes n’ont pas accès à l’électricité. Visitant plusieurs dizaines de pays, et presque autant de chefs d’État, il a soutenu un “plan Marshall de l’énergie” en Afrique, dont les besoins de financements atteignaient environ 4 milliards d’euros par an pendant une quinzaine d’années (une somme totale de 200 milliards d’euros a également été évoquée).

En décembre, l’ancien ministre de l’Ecologie de Nicolas Sarkozy annonçait le soutien du prince saoudien Al-Walid Ben Talal à son Fonds de soutien à l’électrification de l’Afrique (FSEA), dont l’objectif était de « combler le gap de financement » nécessaire aux projets existants pour les rendre rentables.

Dans une interview accordée le 15 février au quotidien français Le Figaro, l’ancien avocat annonce qu’il souhaite désormais se mettre “au service d’une nouvelle cause collective”, (évoquant notamment, à quelques mois des élections présidentielle et législatives, “le déclassement de la France” et le “sauvetage de l’Europe”), estimant sa mission remplie.

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Jeune Afrique

Merci à Pythéas

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