Dans le camp de Grande-Synthe, les bénévoles de Gynécologie Sans Frontières (GSF) suivent la centaine de migrantes qui vivent là et dont certaines sont enceintes: échographie, conseils pour s’occuper des bébés, soins…
Un travail commencé fin 2015, mais qui pourrait bien être menacé après la mi-avril si GSF, qui peine à trouver des subventions publiques, ne parvient pas à se renflouer.