De sa voix chaude, calme et émouvante, reconnaissable entre toutes, le comédien André Dussollier lit un extrait du texte d’Antoine Leiris, écrit après l’attaque contre le Bataclan, en novembre 2015. Ce soir-là, le journaliste a perdu sa femme Hélène…
Vous n’aurez pas ma haine. […] Vous voulez que j’ai peur, que je regarde mes concitoyens avec un œil méfiant, que je sacrifie ma liberté pour la sécurité. Perdu. Même joueur joue encore.