S’il est resté, jusqu’ici, discret sur l’élection présidentielle, Alain Finkielkraut n’en a pas perdu une seconde. C’est en philosophe qu’il a observé, avec effarement, le feuilleton judiciaire et médiatique.
La politique, selon lui, abandonne l’école, la nation, la laïcité, la culture, pour se réduire à une simple dialectique entre les ouverts et les fermés, à une simple marche pour le progrès et contre « le péril brun ».