10/04/17
09/04/17
J’ai été saisi d’une polémique naissante suite à un nombre limité de publications anciennes de Mohamed SAOU, référent départemental d’En Marche dans le Val d’Oise, et qui a jusqu’à présent donné toute satisfaction en multipliant par exemple par dix le nombre d’adhérents de notre mouvement dans son département.
Il est hors de question de laisser M. SAOU être cloué au pilori des réseaux sociaux et être victime des tentatives d’instrumentalisation qui ont cours dans ces espaces propices à toutes les manipulations et toutes les caricatures. Pour autant, nous n’entendons pas non plus rester sourds aux interrogations légitimes qui ont pu naître chez certains.
En conséquence de quoi, et en accord avec M. SAOU, j’ai demandé à la commission d’éthique d’En Marche d’émettre un avis sur le fond des propos qui sont reprochés à M. SAOU lorsqu’il n’était ni référent, ni même adhérent d’En Marche, afin de déterminer s’ils ont dépassé ou pas le cadre de libre expression qui a cours au sein de notre mouvement.
M. SAOU reste référent départemental d’En Marche pendant la durée des travaux de la Commission, mais il a accepté de se mettre en retrait de ses fonctions. Il poursuivra la campagne sur le terrain aux côtés des milliers d’adhérents qu’il a très largement contribué à mobiliser.
Richard Ferrand
Secrétaire général d’En Marche !
Lettre ouverte du CCIF à Macron :
08/04/17
https://twitter.com/FeizaK/status/850714965166174209
Ils chassent & obtiennent les têtes des arabes qu'ils ne peuvent domestiquer. Ce maccarthysme qui gagne du terrain devient préoccupant #Saou pic.twitter.com/bkfjMlHEVc
— Abdelkrim Branine (@krimbranine) April 8, 2017
Les ratonnades du 21eme ont lieu sur internet. Et des procès à coup de tweets détournés. Derrière cela, des groupes fachos et leurs alliés.
— Alexis Bachelay (@AlexisBachelay) April 8, 2017
06/04/17
Il ne sera finalement pas de la fête. Mohamed Saou, le référent départemental d’En Marche 95 et militant de la première heure, a décidé de ne pas se rendre au premier anniversaire du mouvement. Les instances nationales lui ont demandé ce jeudi de se « mettre en retrait » pour éviter toute polémique à deux semaines du premier tour, affirme-t-il. En cause ? Un post Facebook de Céline Pina, ancienne élue de Jouy-le-Moutier connue pour ses positions contre le voile, relayé sur les réseaux sociaux.
(…) Le Parisien