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Les autorités et les associations tentaient d’organiser dans l’urgence mardi l’accueil dans d’autres lieux des quelque 1.400 migrants laissés dans le dénuement après la destruction par le feu, dans la nuit, du camp de la Lignière, où ils vivaient, à Grande-Synthe (Nord). Seuls environ 70 chalets en bois étaient intacts sur les 300 que comptait ce site ouvert en mars 2016, et qui se voulait une réalisation “exemplaire”, selon son promoteur, le maire écologiste de Grande-Synthe, Damien Carême.


La priorité des autorités est de “mettre à l’abri les migrants qui errent” et d’organiser “un accueil d’urgence” au lendemain de l’incendie qui a ravagé le camp de Grande-Synthe (Nord) après une rixe entre Kurdes et Afghans, a annoncé mardi le préfet du Nord.

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