Le président de la Commission ne voit pas la nécessité de prévoir un « plan d’urgence » pour l’élection présidentielle française, estimant que l’UE était assez forte pour survivre à une victoire de Marine Le Pen.
Elle a ajouté que Jean-Claude Juncker voudrait que les forces pro-européennes aient le dernier mot, mais que seul l’électorat français déciderait.
Le point de vue du président de la Commission contraste avec celui d’autres responsables européens, comme le commissaire français Pierre Moscovici, qui a déclaré qu’une victoire de Marine Le Pen et un Frexit seraient mortels pour le projet européen. […]