Ils sont une trentaine. Contenus par la police. Maintenus à distance du palais Nikaïa où va se dérouler le meeting de Marine Le Pen.
Banderoles de fortune pour crier leur haine du FN en mains, ils sont peu… mais motivés. “Nous sommes un collectif d’organisations et de militants locaux de gauche antifasciste, nous nous rassemblons pour manifester en réaction au meeting du Front National et de ses satellites fascisants.
Contre les valeurs réactionnaires et à la culture de violence d’une France prétendument apaisée, nous opposons une union populaire soudée appelant à une mobilisation générale.
Ceci n’est pas un appel au vote”, avaient-ils annoncé en amont de leur rassemblement