La tendance ne s’annonce pas à la baisse en matière de véhicules incendiés, même si les statistiques officielles sont difficiles à obtenir. Déjà, en 2016, les chiffres n’étaient pas très bons. Et l’on comptabilisait en fin d’année dernière plus de 1.000 véhicules carbonisés. « Mais ramené à la population, on est sur la même tendance » explique le capitaine Pascal Reymond, du SDIS 42.
Et même si le phénomène touche particulièrement les zones urbaines, les communes plus petites sont elles aussi impactées. « Il n’y a pas de commune plus impactée que d’autre. Et l’on ne doit pas stigmatiser une zone. Il n’y a pas de cartographie du feu de voiture » assure le pompier.
Merci à Lugh