Ska Keller [présidente du groupe des Verts au Parlement européen] : Cette idée du village syrien n’est que l’une des possibilités que l’on pourrait utiliser. Par exemple, quand les réfugiés ne veulent pas aller seuls dans un pays où il n’y a pas de réfugiés. Les gens aiment aller là où vivent déjà des compatriotes, cela facilite l’intégration et l’accueil. […]
(Traduction Fdesouche)