Au cours des cinq premiers mois de cette année, le ministère de la Sécurité et de la Justice a expulsé 480 migrants qui ont été reconnus coupables d’un crime. Parmi eux, 60 Albanais, 60 Surinamais, 50 Algériens et 50 Marocains.
Les chiffres du ministère montrent que la proportion de migrants criminels forcés de quitter les Pays-Bas a augmenté chaque année depuis 2011.
Vendredi, le ministre Stef Blok de la Sécurité et de la Justice a assuré au Parlement qu’il n’existe aucune règle pour ne pas poursuivre les demandeurs d’asile qui commettent des crimes. La semaine dernière, le Telegraaf a signalé que de nombreux migrants criminels ne sont pas poursuivis parce que l’expulsion d’un demandeur d’asile est plus compliqué lorsqu’il y a une poursuite pénale en cours contre lui.