“C’était un geste défensif !” Bouzidi Rabah n’en démord pas, même devant les juges alors qu’il était présenté jeudi devant le tribunal correctionnel de Reims sous le régime de la comparution immédiate.
Et pourtant, toutes les évidences sont contre lui : la constatation des policiers, les ecchymoses décrites sur le certificat médical et les témoignages de la victime, de sa fille et de son voisin. Tous trois s’accordent à dire que le prévenu a donné un coup de poing, suivi d’un coup de tête à son ancienne compagne, la laissant dans une incapacité totale de travail.
Merci à Manu