En lui offrant un rein, le fils d’Aïcha lui a permis d’en finir avec des années de dialyse. Mais en Algérie, comme chez ses voisins du Maghreb, des patients souffrent ou meurent faute de donneurs. En cause, des lois restrictives freinant les prélèvements sur les défunts auxquelles s’ajoutent des réticences culturelles ou religieuses, infondées selon des médecins et des théologiens musulmans.