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Sylvie Deville, membre du collectif Soleil de Blida, parle de “querelles d’ego et de pouvoir”. “Un symptôme d’épuisement, d’impuissance. Chacun essaie de faire ce qu’il peut, n’y arrive pas donc regarde ce que fait l’autre, va critiquer.” D’où une certaine agressivité. Jusqu’à présent, c’était ce collectif qui coordonnait sur place les différentes associations. Des bénévoles à la tête d’autres bénévoles, une situation devenue incontrôlable… Il a donc fallu une réunion de médiation mardi soir, pour apaiser les tensions. Enfin presque…

“On a réorganisé les choses, explique-t-elle. Qui s’occupe de l’accueil des nouveaux arrivants, qui s’occupe des besoins quotidiens, qui s’occupe de l’alimentation. Donc effectivement sur le papier les choses se sont arrangées mais le problème reste entier au niveau des bénévoles.”

(….)

France Bleu

Merci à Pythéas

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