Une semaine après la profanation d’une dizaine de tombes, les familles concernées ont été invitées à constater les dégradations. Le cimetière a été fermé l’après-midi à ce titre. Les familles, toutes d’origine serbe, gitane, ont le sentiment d’être livrées à elles-mêmes. Radica, 54 ans, dont le fils, le père et l’oncle sont enterrés là, raconte.