Le directeur de la maison de quartier des Dervallières, placé cette semaine en garde à vue, doit être présenté à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen ce vendredi après-midi pour viols, agression sexuelle, harcèlement sexuel et moral. Les plaignantes sont toutes des femmes majeures qui ont travaillé sous ses ordres.

La maison de quartier des Dervallières est un haut lieu de l’antiracisme nantais :
Merci à matamaure