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Le magazine Glamour [plus de 2 millions d’exemplaires] vient de faire connaître les lauréates 2017 de ses «femmes de l’année»‎‎, qu’ils présentent comme «changeant la donne, brisant les règles et faisant œuvre de pionnières». Peut-être certaines récipiendaires sont-elles en train de changer le monde — quoique pas toutes pour le meilleur – mais à Glamour rien ne change. Le magazine poursuit sa tradition d’utiliser ce prix pour honorer des femmes qui défendent un programme politique extrême et de gauche, tout en ignorant toutes les femmes qui ont des opinions à droite du centre.‎ […]

La lectrice moyenne de Glamour qui parcourt le magazine pour obtenir des conseils sur la teinte de rouge à lèvres et la longueur de jupe à la mode cette saison n’est probablement pas intéressée par un hommage affectueux aux organisatrices de la très partisane Marche des femmes.
La marche, qui s’est tenue en janvier pour protester contre l’ élection du Président Trump, a beaucoup parlé de femmes qui se réunissent, de diversité et d’inclusivité. […]

Il est clair aujourd’hui que la marche et le mouvement n’ont jamais vraiment concerné les femmes. Le but réel est de faire progresser le programme politique de la gauche : tout ce battage sur les “femmes” n’est qu’une bannière politique bien pratique.

Comment expliquer sinon pourquoi l’une des dirigeantes de la marche, Linda Sarsour, mise en vedette par Glamour, défend la charia et le système juridique de l’Arabie saoudite ? […]

Sarsour copine avec des gens qui sympathisent avec les terroristes et elle a tweeté que Ayaan Hirsi Ali, qui milite contre les mutilations génitales féminines auxquelles elle a survécu, cherche “à se faire botter le c.l” , et aussi ceci : “Je voudrais pouvoir leur enlever le vagin — elles ne méritent pas d’être des femmes». Est-ce vraiment là la nouvelle figure emblématique du Mouvement de libération des femmes ?
[…]

Carrie Lukas

(Traduction Fdesouche)

New York Post

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