Le conseil départemental doit faire face à l’arrivée de centaines de jeunes considérés comme « mineurs étrangers isolés ».
Une demi-douzaine de bagages – principalement des sacs à dos et des sacs en plastique – témoignent de leur migration en cours.
« Je viens de Guinée Conakry, explique Mamadou, en français. Je suis parti en 2016. J’ai voulu quitter mon pays pour faire mes études parce que chez moi on m’a fait sortir de l’école. C’est en France que je voulais aller. »
La grande majorité de ceux que nous appellerons des « migrants mineurs » viennent de « pays difficiles, où le contexte économique n’est pas favorable, et ont une vision idéalisée de la France », note Bertrand Mesme, directeur enfance-famille au conseil départemental.
Merci à Pythéas