Dégradations en tous genres, flopée de détritus, tags, tapage, trafic… Pour les locataires du N°5 de la résidence HLM du Clos Brûlé à Thonon, le quotidien a viré au cauchemar.
« On ne se sent plus chez nous. Ce sont parfois 30 à 40 jeunes qui squattent les communs », décrit ce locataire, pour qui à la dépossession s’ajoute un fort sentiment d’abandon. Car la situation n’est pas nouvelle, elle compte au moins trois ans de précédents. « La commune, le maire, la police, personne ne fait rien pour nous ! Ce que nous vivons est unique dans la ville et personne ne prend notre défense. » Le bailleur social se dit « impuissant », la police « consciente » du problème et « résolue » à l’éradiquer.
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Merci à MarcelVincent