Ankara devrait payer son achat en roubles et non pas en dollars, avec un prêt contracté lui aussi en roubles auprès des banques pour 55% du prix total. La nouvelle n’a pas de quoi réjouir les Occidentaux car ce nouveau système de défense serait déployé hors de la structure de l’OTAN, dont la Turquie est pourtant membre.
Afin de renforcer son arsenal dans sa stratégie de lutte contre les menaces kurdes et islamistes au sein et en dehors de ses frontières, la Turquie s’équipe auprès de nouveaux partenaires… Parmi lesquels la France. Un accord est ainsi en cours de discussions avec le consortium franco-italien EUROSAM.