Venue sur le marché de la vidéosurveillance en 2011, la start-up nantaise Kiwatch vient de lever 3 millions d’euros pour accélérer son développement technologique et commercial dans la vidéo-bienveillance, et accroître sa visibilité sur un marché en pleine phase de croissance.
En faisant le choix de commercialiser un système de vidéosurveillance sous la forme d’un abonnement mensuel, à l’instar du secteur de la téléphonie, la nantaise Kiwatch est devenue en quelques années un des acteurs majeurs du marché de la vidéosurveillance avec quelques 20.000 caméras connectées, le plus souvent à domicile, où on lui préfère le terme de vidéo-bienveillance.
« Nous avons enregistré des croissances de 200% en 2015 et 2016, et multiplié par 4 notre base « clients » au cours des dix-huit derniers mois. On touche aujourd’hui 80% de particuliers et 20% de professionnels », se félicite Cédric Williamson, CEO et co-fondateur de Kiwatch, associé à Laurent Rocuet, directeur de la R&D.
« Avant les gens imaginaient qu’ils pouvaient avoir une caméra chez soi, aujourd’hui, il découvre que c’est une réalité. Qu’ils peuvent contrôler un mini centre de surveillance vidéo avec leur téléphone mobile. Le marché connait une véritable inflexion depuis un an ».
Un marché en pleine maturité où Kiwatch veut assoir son modèle d’abonnement.
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