La réunion prévue jeudi avait été annoncée fin décembre, lorsque le Premier ministre Edouard Philippe avait repris en main le dossier du recensement des migrants dans les centres d’hébergement d’urgence. Mais la polémique vire désormais au bras de fer.
Ce texte est présenté par le ministère de l’Intérieur comme le moyen de connaître les publics hébergés et de les orienter en fonction de leur situation (réfugiés, déboutés…). Mais il «autorise, sans base légale, des équipes relevant du ministère de l’Intérieur à pénétrer dans des centres d’hébergement protégés pour y réaliser des contrôles» […].
Merci à Cédric