Des propos qu’il assume, évoquant qu’il ferait de même pour la candidate du Front National si jamais elle accédait au pouvoir : “J’irai plus loin, je crois que si un jour Marine Le Pen était élue, elle serait aussi ma présidente”.
Pour autant, Charles Aznavour, qui a provoqué un tollé en proposant de trier les migrants sur le plateau de Laurent Delahousse, se prétend “ni de droite ni de gauche” et se défend d’appartenir à un parti : “Je fais ce que je veux, je suis qui je suis. Je suis un homme libre”.
Merci à Manu