Le hic : ces biens n’existaient pas, et la personne présentée comme sa femme était elle aussi une de ses victimes. Cette Marseillaise s’était faite aborder sur Facebook par le malfrat qui lui faisait croire que l’argent qu’elle recevait était destiné à financer un orphelinat en Afrique. L’affaire est passée récemment devant les tribunaux, mais l’audience a été renvoyée en juin, faute d’avoir pu prévenir à temps l’ensemble des victimes ayant déposé plainte, précise le quotidien régional.
Merci à MARCO