Avenue de Langres, à Dijon, une résidence est, depuis plusieurs jours, squattée par une bande de jeunes qui ont monté un trafic de stupéfiants. Les tarifs des produits vendus sont même écrits au marqueur dans l’ascenseur.
“J’ai la boule au ventre au quotidien”, se désole une locataire, face au climat d’insécurité et aux incivilités générés. Plus d’informations dans votre édition de vendredi 2 février, ou dès 5 heures sur notre site pour nos abonnés dans la rubrique “À lire aussi”.
Merci à Sanybrailleur