Le 1er février, des bagarres ont opposé des Afghans à des Africains à Calais, faisant cinq blessés par balle, dont deux sont toujours hospitalisés. (…)
La responsabilité de passeurs dans les rixes, souvent évoquée par des migrants au lendemain des faits, est « une des possibilités, pas la seule », a affirmé le magistrat. Selon lui, l’hypothèse de conflits ethniques est « tout à fait envisageable, d’autant que, les jours précédents, étaient arrivés cent cinquante Africains de région parisienne et de Belgique, ce qui a d’ailleurs compliqué le travail des associations ». (…)