Tandis que 3% des terroristes sont des chômeurs, 8% sont des élèves ou des étudiants, 3% sont des enseignants et 8% exercent dans la fonction libérale. Selon le journal tunisien, ces nouvelles données, beaucoup plus précises, tendent à battre en brèche la thèse selon laquelle le terrorisme serait motivé par des raisons matérielles, eu égard à la présence des cadres de l’Etat dans les affaires de terrorisme.
Par ailleurs, la faible présence des forces armées (1%) dans le terrorisme confirme que les forces armées tunisiennes n’ont pas été infiltrées par les terroristes.
Merci à Anthonin