« La vie ici au Chili n’est pas aussi facile qu’on le croit, car tout doit être acheté. Un étranger ne peut pas voyager au Chili sans argent, et aujourd’hui, c’est ce que font tous mes compatriotes. Ils viennent ici sans rien, ils se dirigent vers les autorités et demandent : “Où puis-je dormir ? Où puis-je rester ?” » déclare-t-il.
Une chanson promue par les autorités chiliennes, dans une campagne d’information destinée aux Haïtiens tentés par l’exil : en 2017, ils étaient plus de 100.000 à être entrés au Chili soit 114% de plus que l’année précédente. Une vague d’arrivée qui attise le sentiment anti-immigration des Chiliens.