Ce drone chinois est un petit bijou de technologie et le premier à avoir pu emporter des passagers. Pas d’instruments de vol : le client entre le trajet choisi sur un mini tableau de bord, et les huit moteurs électriques l’élèvent jusqu’à 300 mètres au-dessus du sol. Le taxi-drone a 30 minutes d’autonomie et peut voler jusqu’à 160 km/h.
Pour le moment, l’engin est piloté depuis ce centre aux petits airs de NASA. Le taxi volant, une arme contre les embouteillages, et toutes les grandes villes en rêvent. Mais les Français, eux, sont-ils prêts à lâcher leur taxi pour un drone ? En Europe, Airbus aussi est rentré dans la course, avec un baptême de l’air de son engin volant baptisé Vahana. Mais le taxi-drone, ce n’est pas encore pour demain. La bataille pour la conquête de l’espace par les taxis-drones ne fait donc que commencer.