Un coursier livre @hugoclement et fait une blague sur Twitter, Hugo lui demande de supprimer, il supprime. Hugo Clément balance quand même à @Deliveroo_FR et Deliveroo vire le coursier en question.
— Coord Jeunes Bdx (@CoordJeunesBdx) 4 avril 2018
1- Beau bullshit, bravo.
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
2- le livreur balance en public ma localisation (sans flouter) en identifiant mon compte. WTF ? A chaque fois que je commande, je dois partir du principe que mon adresse sera publiée ? Bref, je demande de supprimer. pic.twitter.com/tNSbfF5mdk
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
3- non seulement il ne supprime pas tout de suite, mais en plus il se fout de ma gueule, se plaint de ne pas avoir eu de pourboire alors que « je suis blindé » (sic) pic.twitter.com/tcLHGwd4bR
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
4- il donne même dans le plus grand des calmes le contenu exact de ma commande à des inconnus pic.twitter.com/lgxvPBAZyY
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
5- je contacte donc Deliveroo pour leur demander de faire supprimer ces tweets abusifs. En leur précisant que je ne souhaite pas de sanctions contre ce livreur, juste une suppression immédiate de ces publications. pic.twitter.com/0KUsg1bcLW
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
6- le livreur supprime le tweet initial mais pas tous les autres. Et part en délire total. pic.twitter.com/WkwRoyL7s0
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
7- Deliveroo a visiblement décidé de suspendre son contrat. Je ne l’ai jamais demandé, j’ai même précisé l’inverse. Je n’ai fait qu’exiger le retrait de mes données personnelles publiées sur Twitter. Bonne soirée.
— Hugo Clément (@hugoclement) 4 avril 2018
(Merci à Neocon)