Pour Bernard Antony, c’est une victoire. Président de l’Agrif (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne), il s’était constituée partie civile dans l’affaire de la profanation du cimetière Saint-Roch.
Le 15 avril 2015, 215 tombes avaient été saccagées par un Graulhétois de confession musulmane. Les faits s’étaient déroulés pendant la pause déjeuner des gardiens du cimetière et avaient provoqué une vague d’indignation.