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Frappé de coups de pieds et de coups de poings par un groupe de migrants. Battu et laissé à terre dans une mare de sang pour avoir simplement tenté de défendre le chef de train contre un jeune Nigérian qui, après avoir refusé de montrer son billet, avait commencé à s’en prendre aux autres voyageurs. La victime est un policier de quarante ans, originaire de Verbania. Son état est sérieux, mais il n’est pas en danger de mort.

Il n’a jamais perdu conscience et a pu décrire ses agresseurs avec une précision méticuleuse, afin de permettre à ses collègues de les arrêter peu de temps après: pour l’instant deux individus ont été arrêtés.

Un migrant a commencé par insulter le conducteur qui lui avait demandé le billet, puis il a insulté et dérangé les passagers. Le policier a essayé de calmer le garçon. Alors que l’agent essayait de rétablir le calme, un groupe d’une dizaine de jeunes Nigérians est intervenu pour défendre leur compatriote. Sous les yeux terrifiés des passagers, ils ont immobilisé le chef de train et ont frappé le quadragénaire avec une violence inouie, tentant même de lui voler son portefeuille. Puis ils se sont enfuis dès que le train s’est arrêté à Carnate.

Les policiers ont réussi à identifier quelques membres du groupe, les auteurs du passage à tabac. Deux Nigérians de 24 et 25 ans, avec un titre de séjour en Italie, ont été menottés, arrêtés pour résistance à un agent public, tentative de vol et blessures.

Corriere della Sera

Merci à Cecilia

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