La police cantonale bernoise a refusé à bon droit un permis d’achat d’armes à Nicolas Blancho. Le Tribunal fédéral a rejeté mardi le recours du président du Conseil central islamique suisse (CCIS), qui invoquait des menaces. Le refus de la police a été confirmé par plusieurs instances saisies par le plaignant.
Celles-ci estimaient que l’on ne pouvait garantir que le Biennois utiliserait son arme de manière responsable et respectueuse de la loi. Les autorités rappelaient les opinions radicales du président du CCIS et le fait qu’il ne reconnaît pas les droits de l’homme et l’état de droit en Suisse. Le TF juge que l’argumentation de N.Blancho n’était pas suffisante.
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