(10/05/2018)
Les Danois expriment leur inquiétude après que la police ait admis avoir choisi de ne pas informer le public du viol et de la tentative de viol sur deux jeunes filles de 14 ans, perpétrés par des migrants afghans dans un centre commercial d’Esbjerg.
La nouvelle de ce fait divers tragique, qui a provoqué une «tempête» d’appels téléphoniques aux autorités de parents inquiets, n’aurait pas attiré l’attention des Danois si les médias n’en avaient pas parlé.
“Est-ce que les policiers estiment que les citoyens n’ont pas le droit de savoir ce qui se passe dans un lieu public fréquenté” s’est interrogé le journal danois le week-end dernier.
“Il pourrait y avoir d’autres filles qui ont été attaquées au même endroit ou par les mêmes hommes”, a indiqué la publication dans une série de questions posées à la police, suggérant que les victimes ne se présenteraient pas si les autorités ne les informaient pas.
Les policiers ont choisi de ne pas diffuser la nouvelle de l’affaire “dans ce cas particulier” pour les victimes, qui “n’avaient que 14 ans et venaient d’être confrontées à une expérience hautement traumatisante”, a déclaré la porte-parole de la police, Lene Roesen, forcée de d’expliquer.
(07/05/2018)
Deux individus afghans ont été interpellés, ils sont accusées de viol et de tentative de viol par deux jeunes adolescentes de 14 ans.
La police enquête actuellement sur des accusations de viol sur une jeune fille de 14 ans et une tentative de viol sur une autre fille du même âge dans un centre commercial à Esjberg, le 31 mars.
Les victimes ont été agressées aux toilettes, séparément, l’une a été violée, tandis que l’autre a subi une tentative de viol.
Un jeune homme afghan de 16 ans, accusé de viol, et un autre afghan de 20 ans, accusé de tentative de viol, ont été arrêtés.