Ce ne sont pas les plus nombreux, mais les tribunaux correctionnels et criminels français sont régulièrement confrontés aux ressortissants ou individus originaires de Tchétchénie pour faits de terrorisme. Tous bénéficient du statut de réfugiés politiques. Ce qui rend ces affaires plus compliquées à juger pour les magistrats français, confrontés à des avocats impliqués dans la défense de la cause tchétchène.