Aux côtés des messages de condoléances, des torrents d’animosité. Pas tant contre l’acte terrible qui a causé la mort de Kévin que contre la nationalité et l’origine supposées du suspect.
Il y a ceux qui pleurent le décès d’un lycéen âgé de 17 ans, plus tout à fait un gamin, pas encore un homme. Et il y a ceux qui vomissent leur haine raciste contre le meurtrier…
(…)
Merci à Dobsky