Depuis six ans, Bordeaux accueille les Journées des diasporas africaines. Ce week-end, c’est un second rendez-vous qui apparaît dans l’agenda avec les Universités d’été des diasporas africaines.
À la baguette de ces rendez-vous, Pierre de Gaétan Njikam-Mouliom, maire de Bordeaux Maritime et adjoint aux relations avec l’Afrique subsaharienne. « Bordeaux est reconnue comme ville de référence sur les questions africaines et celles liées à la place des diasporas. Il s’agit d’appréhender les évolutions de la société française et les nouvelles relations entre la France et le continent africain. » […]
« L’opinion ne mesure probablement pas le caractère vital des relations avec l’Afrique. C’est le rôle des diasporas que de plaider en ce sens. L’Afrique est un élément de l’identité française et vice versa », relève Pierre de Gaétan Njikam-Mouliom. Il poursuit : « Il est question de déterminer les leviers, les plus impactants sur le continent et agir sur les acteurs du changement : les jeunes, les femmes… Il faut également réfléchir à comment capitaliser l’énergie de nos quartiers populaires pour créer des passerelles. Chacun doit prendre sa part car le lien avec le continent est un élément capital de notre futur. »
(Merci à Loumala)