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Le Ghanéen de 31 ans, aux lourds problèmes psychiatriques, avait semé la panique dans un bar quelques jours plus tôt.

Le migrant ghanéen qui a tué à mains nues un patient âgé de l’hôpital de Sessa Aurunca (Caserta), venait juste d’être libéré par le juge d’instruction. L’africain avait été arrêté par les carabiniers à Castel Volturno pour avoir détruit un bar et menacé son propriétaire.
(…) le juge d’instruction l’avait relâché le soir même de l’arrestation (…). De là, les policiers l’avaient accompagné en ambulance à l’hôpital (…) car le migrant de 31 ans était hors de lui, se débattait et insultait, peut-être sous l’effet de puissantes substances stupéfiantes.
Arrivé aux urgences, il a été immédiatement transféré en psychiatrie, où il a à nouveau eu un coup de folie dans la nuit, tuant à coups de poings le pauvre retraité italien, Luca Toscano, 77 ans.

Il Giornale

 


03/07/2018

Un migrant avec des problèmes psychiatriques tue un vieil homme à l’hôpital
Quand les carabiniers sont arrivés à l’hôpital de Sessa Aurunca (Caserta), ils ont trouvé l’homme barricadé dans le service (…) où il avait été amené la veille au soir par la police, qui l’avait trouvé sur la voie publique fortement agité.
Il a fallu cinq [agents de police] pour immobiliser l’immigré d’origine africaine qui est sorti de ses gonds ce matin et s’est jeté sur la première personne rencontrée, un vieil homme qui était hospitalisé avec lui et qu’il a tué à mains nues vers 7h10 (…)

Il Giornale

 


02/07/2018

Un clandestin, avec des précédents judiciaires, a semé la panique dans un bar de Castel Volturno, dans la province de Caserta.
L’homme, après être entré dans le café, avoir consommé une boisson et avoir demandé un paquet de cigarettes, s’était éloigné sans payer. Le gérant l’avait bien sûr arrêté afin de se faire payer (…). L’immigré, entre hurlements et imprécations, a répété n’avoir aucune intention de payer, car il est “un boss du secteur”, ajoutant même que: “Si vous ne me donnez pas cent euros, je ne pars pas et je casse tout!” C’est ce qui s’est malheureusement passé (…).

Il Giornale

 


(…) Charles Opoku Kwasi, né au Ghana il y a 31 ans, n’a pas de domicile fixe et vit en Italie sans permis de séjour depuis au moins quatre ans. A la fin de 2013, sa demande de statut de réfugié sur critères humanitaires a été rejetée. Il aurait dû être rapatrié, mais l’expulsion est restée (lettre morte). Depuis, on peut suivre les déplacements de Charles au fil de ses différentes arrestations. A Andria dans les Pouilles pour vol. C’était en 2015. Retenu sur le littoral domitien l’année suivante, pour une rixe. Et arrêté encore à Pescopagano (…) samedi dernier. Il est remis en liberté. Il y a deux soirs, il perd à nouveau le contrôle. Il errait sur la Via Domitiana, dégradant les véhicules en stationnement, quand il s’est fait pincer par les agents de police du service de prévention des crimes de Naples, qui travaillent depuis des mois en soutien des forces de l’ordre locales pour gérer l’ingérable poudrière qu’est Castel Volturno (…).

Il Mattino

(Merci à Cecilia)

 

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