Les faits se sont déroulés vers 9h dans le village de Vic-sur-Aisne entre Soissons et Compiègne. Comme le rapporte France 3, l’assaillant âgé de 30 ans et vêtu d’une casquette et d’un jogging s’est introduit dans une cour avant de monter un escalier menant à une porte d’habitation et de tambouriner à la porte en hurlant.
L’occupant de la maison, un père de famille d’une trentaine d’années appelle les gendarmes. Lorsque ceux-ci arrivent, ils tombent sur un individu visiblement hystérique en train de frapper des pancartes à coups de bâton.
Face au refus d’obtempérer du suspect, les militaires tirent avec un pistolet de type Taser pour immobilier l’agité. Mais, selon un témoignage rapporté par la chaîne, au troisième coup de l’arme en principe non létale, l’homme ne s’est pas relevé.
Une attaque à l’arme blanche a été perpétrée lundi 9 juillet vers 9 h 30 à Vic-sur-Aisne, petite ville de l’Aisne située à la frontière de l’Oise à mi-chemin entre Compiègne et Soissons.
L’agresseur a crié « Allahou Akbar » dans la rue. Selon un témoin, il a frappé sur des voitures et a pénétré armé dans une habitation, où il aurait tout retourné.
Les gendarmes sont arrivés très vite et ont tiré plusieurs coups de pistolet à impulsion électrique pour le neutraliser.
En arrêt cardiaque, l’agresseur est décédé sur place.
La scène a duré une dizaine de minutes rue de Rivière. « C’était une bête en furie. Son visage était méchant, comme s’il était drogué », indique Philippe, un témoin choqué.