“L’ancienne génération utilisait des crèmes, la nouvelle génération utilise des pilules et des injections”, note-t-il. “Les nouveaux modes d’administration sont encore plus inquiétants: nous ne connaissons pas les conséquences à long terme de ces produits, encore plus concentrés“.
Sur les bancs de la fac de médecine, Isima Sobande avait entendu parler de mères décolorant la peau de leurs bébés, mais elle avait cru à une légende urbaine. Elle découvre qu’il n’en est rien lorsque, après son affectation dans un centre médical de Lagos (Nigeria), un nourrisson de deux mois se tordant de douleurs est admis “avec de très gros furoncles sur tout le corps“. […]
Merci à Marie Antoinette