Après son retrait unilatéral de l’accord nucléaire de 2015, Washington a rétabli le 6 août une première série de sanctions contre Téhéran et lancé un avertissement aux pays qui persisteraient à commercer avec l’Iran. L’administration Trump a donné aux entreprises une période de 90 à 180 jours pour se retirer d’Iran et une nouvelle salve de sanctions touchant le secteur des hydrocarbures est prévue en novembre.
Plusieurs autres grandes entreprises étrangères ont déjà annoncé qu’elles mettaient un terme à leurs activités en Iran, comme les allemands Deutsche Telekom et Deutsche Bahn ou le groupe de gaz industriel français Air Liquide.