Le parquet de Paris avait ouvert mercredi une enquête pour “provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit” après la diffusion du clip. Selon l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, les faits sont passibles d’une peine maximale de 5 ans de prison et de 45.000 euros d’amende. Il n’a pas été placé en garde à vue et était entendu dans le cadre d’une audition libre, a précisé à l’AFP une source judiciaire.