Réactions :
https://twitter.com/patrickJardin3/status/1045639535110107137
https://twitter.com/patrickJardin3/status/1045685753643245568
Patrick Jardin, qui a perdu sa fille lors des attentats du 13 novembre 2015, reste profondément meurtri par ce drame et apparaît de plus en plus souvent auprès de figures d’extrême droite.
https://twitter.com/askolovitchC/status/1045601143722835968
A ceux qui veulent bien prendre le temps de l’écouter, Patrick Jardin répète l’exact contraire : « Moi, j’ai la haine. »
A force de rancœur, ce fort en gueule taillé à la Gérard Depardieu est devenu la victime totem d’un autre camp, à l’opposé des « bobos gauchos » et du « Je suis Charlie ». Ses soutiens à lui abhorrent le « politiquement correct » et le dialogue avec « l’islam de France ».
Portrait d’un anti-Antoine Leiris. Père meurtri du 13 novembre 2015 devenu nouveau héraut de l’extrême-droite. Avec @LucieSoullier https://t.co/6RE3tf0NSw
— Elise Vincent (@elise_vincent) September 28, 2018
« Moi, j’ai la haine » : Patrick Jardin, quand la tragédie d’un père nourrit un agenda politique. Portrait par @LucieSoullier et @Elise_vincent https://t.co/nrS3CwMjgR
— Olivier Faye (@olivierfaye) September 28, 2018