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Dans une ambiance bon enfant, le président de l’UPR débat avec le démographe Emmanuel Todd, qui approuve le constat d’un « système européen autoritaire et antidémocratique » – l’Allemagne en prend aussi pour son grade-, mais pas « l’opposition au monde anglo-saxon » ou la sortie de l’Otan.

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Vivement le Brexit

Intarissable citeur de De Gaulle, François Asselineau déconstruit méthodiquement cette « idéologie » supranationale bruxelloise. « L’avenir de la France passe beaucoup plus par ses liens avec les pays du Sud, du Maghreb et de l’Afrique, de même que l’avenir du Royaume-Uni passe plus par ses liens avec les pays du Commonwealth, et l’Allemagne avec le monde turcophone », explique-t-il à l’AFP.

Aux Européennes, une liste doit réaliser au moins 5 % pour être admise à la répartition des sièges, et au moins 3 % pour voir ses frais de campagne remboursés. Or, un sondage publié le 13 septembre crédite l’UPR de 1 % d’intention de vote pour les Européennes, et 1,5 % pour les Patriotes de Florian Philippot qui s’est fixé comme priorité également le « Frexit ». Mais François Asselineau a rejeté l’appel du pied de l’ex-lieutenant de Marine le Pen qui a assuré à l’AFP qu’il conduirait bien une liste en 2019 pour les Européennes. « J’ai tendu la main à plusieurs reprises à François Asselineau, même pour une simple rencontre. Il ne le souhaite pas et l’a dit avec beaucoup d’agressivité. Je regrette cette fermeture car le Frexit doit être la seule priorité », a regretté Florian Philippot.

20minutes

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